La légende de Meno dieu des forges, du feu et des métaux
Cette histoire commence il y a bien longtemps de ça, les terres étaient encore jeunes et les guerres n’avaient pas encore souillés ce monde, du moins jusqu’à ce que Nosvéris prenne les armes. A l’époque ce continent n’était habité que par des nains et des hommes qui eux vivaient dans les régions du nord. Ces deux races cohabitaient en paix, les nains demeuraient dans les montagnes et ne souciaient guère des hommes à part pour le commerce.
Mais au bout de quelques temps, des faits étranges vinrent troubler cette tranquillité. Sur les côtes, les humains à la vue la plus perçante pouvaient apercevoir des bateaux qui n’étaient pas des leurs. De plus on signalait de plus en plus de disparitions du côté des deux races, ce qui ne laissait rien présager de bon.
Jusqu’à un matin, cette fois-ci tout le monde pouvait voir clairement se dessiner sur le large toute une flotte navale, une invasion était imminente.
Pris au dépourvus, la plupart des humains se réfugièrent dans les montagnes, les quelques courageux qui restèrent défendre leurs maisons se firent massacrer par des êtres de leurs tailles, d’une peau blanchâtre aux oreilles pointues.
Les conquérants massacraient tous sur leurs passages, sans pitié pour qui que se soit, ils obligèrent les hommes et les nains à se replier au sud-ouest de l’actuelle ville de Gwadh dans les montagnes abritant les 3 volcans de Nosvéris.
Tout les habitants du continent s’étaient préparer à tenter une dernière fois de repousser les envahisseurs jetant toutes leurs forces dans la bataille, adressant une dernière prière aux dieux pour qu’ils les accueillent dans un royaume meilleur.
Mais quelque chose de bizarre se passa cette nuit là, les trois volcans entrèrent en éruption exactement au même moment, puis quelques heures après une personne encapuchonnée s’approcha du camp dans lequel résidaient les défenseurs.
Il s’adressa à tous ceux qui demeuraient là :
"Les dieux vous ont entendu, mon nom est Meno et je vient vous aider à conserver vos terres, au lever du matin vous les attaqueraient et votre force sera tellement supérieure qu’ils seront obliger de battre en retraite et de s’en aller."